Les vaccins covid abrègent plus de vies qu’elles n’en sauvent, si on en croit les données britanniques, commentées par Jean-Luc Guilmot, sur le site Mondialisation.ca, le 27 décembre dernier. Le taux de mortalité toute cause pour les 10-59 ans, en fonction du statut vaccinal au Royaume-Uni, est plus parlant que les données d'hospitalisation. Elles ne sont pas en faveur, loin de là, de la vaccination contre le covid.
"Si vous arrêtez de vous focaliser uniquement sur le goulot d’étranglement des soins intensifs (et ses taux de mortalité Covid-19) et que vous adoptez plutôt une vue d’ensemble (taux de mortalité toutes causes), vous remarquerez que selon l’Office of National Statistics du Royaume-Uni – qui de façon assez unique fournit des données transparentes par statut vaccinal – le taux de mortalité toutes causes des personnes vaccinées contre le covid-19 dans le groupe d’âge standardisé 10-59 ans est en moyenne DEUX FOIS PLUS ELEVE que le taux de mortalité des non-vaccinés", explique Jean-Luc Guilmot.
Son constat a également été repris par Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, qui valide cette analyse édifiante dans un billet de son blog. Ces données de mortalité toute cause, en fonction du statut vaccinal, ne sont pas relayées dans les médias, qui restent pour l'instant accrochés au "nombre de cas positifs" pour générer la peur du virus. Or, apparemment le remède proposé s'avère pire que le mal.
Déjà en juillet 2021 dernier, une équipe de chercheurs français avait tiré la sonnette d'alarme et demandé l'arrêt de la vaccination de masse anti-covid. Un article de France Soir avait relayé cette analyse de la première heure (dépubliée par Mediapart) émanant des lanceurs d'alerte Laurent Mucchielli, Héléne Banoun, Emmanuelle Darles, Vincent Pavan, Amine Umlil : "Une mortalité inédite : il y a urgence à suspendre la vaccination", le 30/07/2021.
"La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est ainsi au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ?"
Yves Rasir, rédacteur en chef de la revue Néo Santé, dans son infolettre du 5 janvier 2022, commente les données du Royaume-Uni récoltées par Jean-Luc Guilmot : "Certes, ce genre d’observation chiffrée peut facilement être biaisée. En l’occurrence, il se pourrait que les réfractaires jouissaient d’une meilleure santé au départ et/ou qu’ils se sont mieux soignés depuis douze mois. Quand bien même il y aurait un biais, les chiffres anglais montrent que la vaccination ne présente pour eux aucun intérêt".
"il n’est pas indispensable d’avoir sous la main la répartition des morts selon le statut vaccinal : à elle seule, la mortalité globale est déjà éloquente. Comme l’expose le général Dominique Delawarde dans son dernier rapport, la situation mondiale montre à l’évidence que le vaccin fait pire que bien. Malgré une vaccination de masse menée tambour battant avec plus de 9 milliards d’injections, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020. Partout où elle a été appliquée, la « solution » vaccinale n’a fait reculer ni les contaminations ni la mortalité. Les pays les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie s’en sont d’ailleurs beaucoup mieux sortis que les pays les plus vaccinés. C’est un fait."
Professeur de biostatistique à l’Université de Liège, le Pr Patrick Meyer a croisé les chiffres de mortalité dans 18 pays européens avec ceux des inoculations dans différentes strates de la population. La « variable vaccin » s'avère pertinente pour expliquer l’excès de décès constaté en Europe, et particulièrement parmi les jeunes générations. Son article n’a pas encore été révisé et publié, mais vous pouvez déjà le consulter sur Researchgate en cliquant ici.
Visionnez la courte vidéo que le jeune chercheur a enregistrée le 2 janvier 2022. Il y résume ses conclusions avec limpidité et il explique aussi, au début de la capsule, pourquoi les chiffres des non-vaxxés en réanimation sont une mystification : vu qu’on ne peut pas mourir deux fois et que le vaccin décime allègrement dans les semaines et mois qui suivent son administration, il est parfaitement logique que la proportion de vaxxés à l’hosto soit plus modeste.
https://www.youtube.com/watch?v=eDSBcpCtORo
Les services de réanimation sont à 80 ou 90% peuplés de non-vaccinés, assure-t-on. C’est tout à fait faux, rappelle un article de fond, signé Éric Verhaeghe, le 5 janvier 2022, et consacré aux morts cachés de la vaccination et au chiffres truqués de la mortalité chez les non-vaccinés. Un informateur proche du pouvoir a bien voulu lui fournir son analyse statistique sur la façon dont les services du gouvernement donnent une vision "favorable" des chiffres.
"Les analyses de la DREES sont délibérément truquées ou “orientées” pour diminuer intentionnellement les chiffres sur la mortalité du COVID parmi les vaccinés, et pour les gonfler parmi les non-vaccinés"
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