Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations
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14/01/22 Les 11 vaccins du nourrisson en France ont été la première pierre de la discrimination sociale par le statut vaccinal

"L'obligation vaccinale s'inscrit dans une stratégie politique de contrôle social", a rappelé le président de la Ligue Nationale pour le Liberté des vaccinations, Jean-Pierre Eudier, au cours de la Marche Blanche Silencieuse à Luxembourg ce 14 janvier 2022. Dans son discours, Jean-Pierre Eudier a remis en perspective la dictature sanitaire dans le contexte de l'essor du bio pouvoir. En France, les 11 vaccins obligatoires du nourrisson ont constitué une pierre d'angle pour bâtir la dictature sanitaire d'Emmanuel Macron. À l'époque, la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations avait vu le pire se profiler et tenté de prévenir la population :

"C'est contre le risque de ces dérives totalitaires que la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations lutte depuis 1954"

Aujourd'hui plus que jamais, nous invitons les citoyens à rejoindre notre association ou à effectuer un don pour soutenir nos actions dont l'intérêt est désormais mieux compris par un nombre croissant de personnes. 

Le discours de Jean-Pierre Eudier

"Après 20 ans de recherches, d’études et de réflexions j’ai été invité à présider la Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations en France.

Ainsi, la couverture de notre revue « Réalité & vaccinations », de février 2020, donc préparée en décembre 2019, était illustrée, de manière prémonitoire, par la photo d’un homme revêtu d’une combinaison de protection des risques bactériologiques et armé d’une seringue avec comme légende : « 2020 Action ou soumission ».

Quelques heures avant le bouclage de la revue, motivé par l’actualité récente, j’ai fait ajouter un encart dont les termes étaient les suivants :

Coronavirus.

A l’heure où nous bouclons ce numéro, une panique soudaine s’empare de la planète avec l’annonce d’une épidémie à Coronavirus aussi énigmatique qu’inattendue dont l’épicentre se situe à Wuhan en Chine.

Comme dans les précédentes pseudo menaces épidémique de 2009 (H1N1), 2014 (Ebola), 2018 (Rougeole), les médias annoncent une catastrophe sanitaire d’envergure sans précédent. Cette fois-ci, il n’y a aucun vaccin à vendre, mais cela ne saurait tarder.

La Ligue invite à ne va pas céder à la panique et à garder son sang-froid. Nous étudions cette question avec beaucoup d’attention et beaucoup de prudence. Nous ne communiquerons pas sur le sujet tant que nous n’aurons pas recueilli d’informations fiables. Comme toujours, nous nous interrogeons sur l’origine naturelle, accidentelle ou intentionnelle de cette épidémie. Sachant que l’intention réside souvent à instrumentaliser cette émergence pour justifier un nouveau vaccin à venir.

Deux ans plus tard, chacun peut constater que cette alerte, que nous émettions sur la base d’une profonde expérience de la question vaccinale, s’est révélée fondée :

L’émergence du Coronavirus a été, selon beaucoup d’observateurs, le prétexte à l’instauration d’une nouvelle obligation vaccinale, dans un programme plus vaste de contrôle des populations.

Un événement juridique crucial en faveur de l'obligation vaccinale

 Au moment où l’OMS déclarait la pandémie de Coronavirus, la ligue était alors engagée dans un recours très important auprès de la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Notre requête visait à rendre illégale toute obligation vaccinale. L’objectif, pour nous, était de faire tomber les 11 vaccins obligatoires du nourrisson en France. Ces 11 vaccins ont été instaurés dans la force par la ministre de la Santé de l’époque, Agnès Buzin.

Malheureusement, le jugement rendu par la Cour au mois de juillet 2020 ne nous a pas donné gain de cause. Nous déplorons aussi le silence médiatique qui a entouré ce procès car il n’a pas permis aux citoyens de prendre conscience des enjeux qui les concernaient tous. L’importance de notre action a été massivement dissimulée par des médias complices des institutions.

Ces 11 vaccins du nourrisson constituent aujourd’hui encore un drame pour de nombreux parents. Ils sont profondément inquiets devant tant d’injections et de rappels obligatoires chez leurs enfants. Les tout-petits ne peuvent échapper à cette obligation sous peine d’être exclus de l’école ou des services sociaux.

Les 11 vaccins du nourrisson en France, mais aussi en Allemagne ou en Italie, ont été la première pierre de la discrimination sociale par le statut vaccinal. 

Chacun peut mesurer aujourd’hui, et très concrètement, les conséquences absolument dramatiques de ce jugement. Il a validé sur un plan éthique et juridique le concept d’obligation vaccinale. Il permet aujourd’hui de légitimer un programme de vaccination obligatoire auprès de toute la population.

Voilà comment un acte médical, supposé prophylactique et au bénéfice de la communauté, est devenu un outil administratif de contrôle social.

En 2019, j’avais signé un article intitulé Biopolitique et Biopouvoir, dans lequel j’écrivais : 

"Bio politique, bio pouvoir, autant de concepts théorisés avant tout par souci de contrôle social plus que pour promouvoir une réelle santé individuelle telle que promise par l'OMS en 1952 dont la finalité était la promotion de la santé et la prévention des maladies.
Aujourd'hui, « l'art de prévenir les maladies, de prolonger la vie et d'améliorer la santé et la vitalité mentale et physique des individus, par le moyen d'une action collective concertée » est devenu une nouvelle façon de « surveiller » les individus.

"Contrairement à ce que le préfixe « bio » accolé à « politique », "pouvoir" et "médecine" pourrait laisser deviner, il ne s'agit pas de « politique de vie » c'est-à-dire une politique qui a le vivant pour objet et les vivants pour sujet, c'est devenu essentiellement une politique des populations, qui mesure et régule, construit et produit des collectivités humaines à travers des taux de mortalité et des programmes de planification familiale, à travers des normes d'hygiène et des contrôles des flux migratoires, et de couverture vaccinale par modélisation mathématique

"Désormais, les politiques de santé publique semble aller de pair avec la surveillance des individus et la mise en place d'un pouvoir disciplinaire normalisé, qu'il s'agisse du contrôle des naissances, de la contraception, de la nécessité de réguler les accidents du travail par des mécanismes assuranciels ou encore des politiques de vaccination construites selon des modélisations mathématiques et non plus sur la reconnaissance du monde vivant.

"N'y a-t-elle pas derrière ce souci les autres, tel qu'affiché par nos autorités sanitaires, une volonté de discipliner les individus en rentrant dans leur propre vie ? Comment lutter contre ce système orwellien qui s'insinue chaque jour dans notre quotidien ? C'est contre le risque de ces dérives totalitaires que la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations lutte depuis 1954 contre les obligations vaccinales et qu'aujourd'hui elle a choisi de résister fermement contre l'extension récente de ses obligations. »

L’actualité semble nous avoir donné raison. Est-il trop tard ?

Pour mes vœux de fin d’année j’adressais le message suivant à 20 000 adhérents

La précipitation des mesures autoritaires correspond une stratégie délibérée : nous empêcher de souffler, briser les retrouvailles de Noël et nous démoraliser dans un combat sans répit. (…)

La guerre que nous vivons n’est pas une guerre contre un virus. Elle n’est pas seulement une guerre des puissants contre les peuples. Elle est aussi une guerre spirituelle, un combat des valeurs. Pour spolier le peuple et tuer son esprit fraternel, nos dirigeants ont trouvé une nouvelle religion : la religion vaccinale. Elle permet d’instaurer une terreur sanitaire sur toute la planète et d’exclure ceux qui refusent de « protéger leur prochain » en recevant l’injection expérimentale.

Il y a des parallèles qui nous sont interdits, mais beaucoup parmi vous ce soir ont eu des parents, des grands parents victimes d’une idéologie qui ont fait de nos ancêtres des « malgré nous ». Les « malgré nous » d’aujourd’hui sont ceux qui disent « nous n’avons pas le choix. »

J’oserai ici le parallèle avec le mot Vernichtung (extermination) lequel reprend du sens. Nous, les défenseurs de la liberté vaccinale, sommes aujourd’hui les victimes désignées d’une volonté d’éradication programmée et simultanée, non seulement du virus mais aussi des empêcheurs d’injecter en masse.

Nous sommes dans le collimateur parce que nous nous élevons contre la dérive tyrannique, et parce que nous voulons sauver nos enfants.

Ceux qui cèdent au chantage institutionnel au prétexte de préserver leur liberté de vivre, hypothèquent leur santé et leur avenir car bientôt eux ou leurs proches rejoindront le cortège des victimes d’effets indésirables qui grandit chaque jour. Ils seront abandonnés par les médecins complaisants, lesquels ont ignoré leur serment d’Hippocrate « d’abord ne pas nuire ». Mais nous les accueillerons au sein de notre communauté fraternelle.

Le peuple allemand, mais aussi le peuple français, ont été accusés de ne rien dire et de ne rien faire pour s’opposer à un nouvel ordre moral et politique que nous jugeons aujourd’hui odieux.  

Que fait-on aujourd’hui, à la Ligue, sinon de se comporter comme des résistants devant les diktats de l’administration, froide et aveugle, devant les fausses affirmations.  

Nous nous accordons tous sur le fait que la biodiversité est une nécessité. Cette biodiversité doit exister dans tous les écosystèmes, tant microbiens que sociaux.

Oui, nous pouvons vivre ensemble, travailler ensemble Luxembourgeois, Belges, Allemands, Portugais, Français et toutes ces personnes venues du monde entier, ici, au Grand-Duché fier de ses valeurs de tolérance et de respect des différences, côte à côte, vaccinés ou non vaccinés.

Pourquoi mettre soudain des barrières entre nous, pourquoi inciter à la haine envers les non-vaccinés ?  

Dans ce monde où l’obéissance et la conformité sont plus simples que le courage et la volonté d’agir faire des erreurs productives … nous arrivons à ce point de fracture de la société, à l’éclatement des familles, à une guerre dont nous ne voulons pas.

Mais comment revenir un équilibre après tant d’erreurs stratégiques ?

 Wer kämpf kann verlieren.

Wer nicht kämpf hat schon verloren.

Qui peut se battre peut perdre.

Ceux qui ne se battent pas ont déjà perdu.

Berthold Brecht

Certes, le défi est immense car les forces qui nous oppriment sont puissantes, mais nous n’avons pas d’autre choix que de le relever, si nous voulons sauver l’avenir de l’humanité.

Je renouvelle l’appel suivant, par lequel je signe tous mes courriers :

"L'urgence du moment est de rassembler nos forces vers un objectif commun, sauver l'État de Droit et les valeurs démocratiques associées pour faire barrage à l'avènement d'un monde désocialisé, déshumanisé, vacciné, numérisé. L'enchainement des scandales sanitaires mis en évidence pendant cette crise nous oblige à redoubler de vigilance et à continuer notre combat pour la liberté de choisir."

 En conclusion, aujourd’hui plus que jamais, nous devons revenir aux fondamentaux de l’éthique :

 Tout apartheid, qu'il soit racial, religieux ou vaccinal ne peut être légitimé.

 Personne ne peut instaurer une séparation entre les êtres humains sur la base d'un test de laboratoire ou d'une immunité vaccinale.

 Aucun gouvernement n’a le droit d’établir une discrimination en fonction d’une injection ou d’un taux d’anticorps.

Cette immunité augmentée, promue par les adeptes du génie génétique, est un leurre, elle ne dépassera jamais l’immunité naturelle. Notre immunité naturelle ne peut faire l’objet d’aucun sous-statut.

 Ce que nous défendons aujourd’hui, c’est le patrimoine de l’humanité.

Date de Publication :
17 janvier 2022
Dernière mise à jour :
17 janvier 2022

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