S'il y a une émission à ne pas manquer, c'est bien la dernière réunion du Conseil scientifique indépendant (N°38)! Ce groupe chercheurs indépendants, qui fait le contrepoids au très opaque conseil scientifique du gouvernement, propose tous les jeudis soir des émissions en direct sur la plate-forme crowdbunker. Celle du jeudi 13 janvier était consacrée aux effets secondaires des vaccins contre la covid, notamment chez les enfants, et au fonctionnement de la pharmacovigilance.
Invité à cette émission, Surya a révélé l'envers du décor du suivi des effets indésirables des vaccins covid. Il a ainsi exposé certaines techniques de manipulation des chiffres pratiquées par les CDC américains (Centers for disease control). Selon lui, il y a bel et bien une volonté de dissimuler les risques concernant les vaccins covid. Il explique aussi que la pharmacovigilance spontanée n'est que la pointe émergée de l'iceberg. En réalité, il existe d'autres systèmes de surveillance des effets indésirables beaucoup plus performants mais inconnus du grand public !
Dans cette émission, le chercheur indépendant expose plusieurs astuces peu scientifiques employées par les autorités sanitaires pour minimiser les effets secondaires des produits expérimentaux qu'elles recommandent... L'objectif est apparemment de faire disparaître certains signaux pourtant récurrents et facilement repérables. Comment fonctionne réellement la pharmacovigilance et comment les autorités sanitaires cachent au grand public la survenue de myocardites ou de syndromes de Guillain Barré ainsi que leur ampleur réelle, c'est tout l'objet de l'intervention de Surya. Le focus est mis sur les États-Unis, mais l'auditeur comprend rapidement que la situation est finalement la même en Europe et en France. La notice des vaccins demeure donc particulièrement lacunaire...
(voir la NOTICE du Pfizer ici et son résumé des effets secondaires pour le patient...)
Cliquer sur l'image pour voir cette vidéo ou sur l'un des deux liens suivants :
Emission complète avec les données du Vaers, présentées par Emmanuelle Darles
https://crowdbunker.com/v/4wETRr7C
Intervention Surya
Par ailleurs, alors que la plupart des observateurs (citoyens ou institutionnels) focalisent sur les données du Vaers (USA) ou de EudraVigilance (UE), Surya nous apprend que ces bases sont de faible qualité et ne pourront jamais prouver une quelconque « causalité ». Ils ont aussi sujet à une intense sous-notification, ce qui ne permet pas de connaître l'ampleur du phénomène des effets secondaires. En revanche, le chercheur indépendant explique qu’il existe d’autres registres beaucoup plus performants qui permettent de connaître, quasiment en temps réel (near real time) l’ampleur des effets indésirables avec une précision bien supérieure. Surya évoque même des serveurs qui moulinent et analysent les données pour un rendu fidèle de la situation des effets indésirables avec une latence de 15 jours tout au plus...
Malheureusement, ces registres européens ou américains ne sont pas accessibles au grand public, pas plus que les études effectuées à partir de ces données beaucoup plus fiables. Ces études sont menées en coulisses par certains experts qui travaillent pour les institutions sanitaires. Le problème, c'est qu'on entend jamais parler de ces études qui restent confidentielles, bien que financées par l'argent public ! Pour les obtenir ou en connaitre les résultats, il faut faire une « requête spéciale », dans le cadre du "droit d'accès aux documents administratifs". C'est long et fastidieux mais c’est justement l’une des spécialités de Surya : tenter de récupérer des documents officiels que l’administration cherche à surtout ne pas divulguer…
Surya explique dans cette émission que certains registres américains opposent systématiquement une réponse négative à ses demandes d’obtention de documents (requête dite FOIA). Qu’il s’agisse des vaccins covid ou d’autres vaccins, tenter de récupérer des documents auprès de certaines administrations américaines s’avère bien souvent mission impossible. C'est le cas notamment du VSD (Vaccine Safety Datalink), une structure de pharmacovigilance dépendante du CDC et spécialement dédiée à la surveillance des vaccins : "c'est une institution plus sécurisée que le Pentagone", lance Surya qui n'a jamais réussi à arracher le moindre document à cette bureaucratie sanitaire.. Pour obtenir gain de cause, il faudrait aller en justice, ce qui peut coûter jusqu’à 100 000 $ aux États-Unis, simplement pour une poignée de documents retenue arbitrairement par l’administration. Un travail de longue haleine que n'exclut pas le chercheur indépendant, mais qui ne pourra se faire qu'en partenariat avec des équipes d'activistes et d'avocats américains.
Mais il y a tout de même quelques réussites. Dernièrement, Surya a réussi à obtenir de la part des autorités australiennes des documents concernant le vaccin Gardasil, notamment les comptes-rendus des comités techniques de pharmacovigilance concernant ce vaccin contre le papillomavirus. « J'ai immédiatement transmis ces documents aux avocats américains en charge du procès contre Merck ! Je tiens à remercier toutes les personnes qui font des dons à la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations car sans eux je n’aurais jamais réussi à obtenir ces documents », explique Surya
La LNPLV agit en tant que principal soutien financier de Surya pour régler les frais facturés par les administrations qu'il sollicite. La Ligue devrait aussi bientôt financer les démarches juridiques de Surya contre des institutions françaises qui entretiennent une omerta sur les effets indésirables de certains vaccins...
Pour aider à faire la transparence sur la question des effets indésirables des vaccins, covid et autres, faites un don à la Ligue !
https://crowdbunker.com/v/pNtFJ0w1UG
-> signer cette pétition de l'association Bon Sens, déposée au Sénat, et qui demande l'ouverture d'une commission d'enquête sur les effets indésirables des vaccins contre la covid.
-> déclarer vos effets secondaires sur la plateforme mise en place par l'association Victimes Covid-19 https://effets-secondaires-vaccins-covid.org/
-> faire une déclaration à la pharmacovigilance officielle : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/guide_patients_declaration_ei.pdf
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