COMMUNIQUE DE PRESSE 28 décembre 2021. La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) réagit à la conférence de presse du 27 décembre 2021. Elle dénonce un abus de pouvoir et de confiance avec l’instauration du passe vaccinal au 15 janvier 2022 et la multiplication dangereuse des doses de rappel.
Troisième mesure liberticide depuis le début de la crise. Le confinement de mars 2020 a été la première attaque contre nos libertés. L’instauration d’un « apartheid » avec le passe sanitaire imposé lors de l’allocution présidentielle du 12 juillet 2021, a constitué une seconde étape de contrôle. Désormais, avec le passe vaccinal, nous faisons face à une troisième attaque qu’aucun garde-fou démocratique ne semble pouvoir contrer. Le gouvernement poursuit sa logique délirante de contrôle des Français, les empêchant de travailler et de se déplacer s’ils refusent les injections expérimentales. Le code de Nuremberg est ouvertement bafoué.
Aucun fondement sanitaire. De nombreuses données scientifiques[1] montrent que le variant Omicron n’est pas dangereux, contrairement à ce que le gouvernement voudrait nous faire croire. Par le biais de chiffres manipulés, il y a tromperie de l’opinion sur la réalité du danger. C’est un abus de confiance manifeste. Par ailleurs, la vaccination n’empêche pas la transmission, ce qui rend caduc l’utilité du passe et de la vaccination. Aucun mot sur les traitements précoces de la part du gouvernement dans les dernières annonces. La volonté de soigner n’existe pas.
Mise en danger de la vie d’autrui. La ligue dénonce le scandale de la vaccination des enfants. Cette vaccination est inefficace chez les adultes, et le bénéfice risque pour les plus jeunes est largement défavorable.
La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations appelle les Français à résister de toutes leurs forces à ces ordres liberticides qui mettent leur vie en danger. Il faut refuser dès maintenant de se soumettre aux injections pour stopper nos dirigeants et leur folie destructrice de la démocratie et de la santé publique.
Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations
[1] « Le variant Omicron est moins sévère. Selon une étude anglaise, un malade atteint par Omicron n'a jusqu'à 45% de risques de moins de séjourner à l'hôpital. Ce qui explique pourquoi en Angleterre, la courbe des contaminations s'envole alors que les hospitalisations restent stables. Les autorités sanitaires britanniques affirment même qu'avec Omicron, le risque d'hospitalisation baisse de 50 à 70%. » Source LCI le 23 décembre 2021.
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