Jean-Pierre Eudier, Président de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations a tenu à apporter un message à l'occasion de cette manifestation.
«
Bonjour,
A l’occasion de cette manifestation du 14 Septembre 2019 à Berlin, la Ligue pour la Liberté des Vaccinations que je préside tenait à témoigner sa solidarité avec les parents, médecins, praticiens de santé, etc…, qui luttent pour la liberté thérapeutique et des vaccinations. Ces droits jusqu’alors garantis dans la Constitution de la République Fédérale Allemande sont aujourd’hui menacés par des politiciens désinformés, sous influence de lobbies puissants voire corrompus.
Le projet d’imposer une vaccination universelle et indifférenciée n’est qu’un dangereux prétexte pour imposer des lois dont la violence n’apparaît pas à première vue.
Tout d’abord, je tiens à faire prendre conscience que pour imposer une loi d’obligation vaccinale, les parlementaires au Bundestag devront d’abord modifier la constitution allemande qui protège les individus contre l’ingérence de l’Etat dans de nombreuses sphères privées. Le changement de la constitution est la porte ouverte à la mise en place de futures lois toujours plus dangereuses et inquiétantes. Nous ne sommes pas en mesure d’écrire l’histoire du futur, mais nous ne devons pas oublier les leçons de l’histoire passée.
La constitution de la République Fédérale d’Allemagne était pour nous un modèle de protection des droits de l’Homme. Car contrairement à ce qui est dit, la France n’est pas le Pays des Droits de l’Homme mais seulement le pays où a été rédigé la déclaration des droits de l’Homme.
La France l’a dit, l’Allemagne l’a fait. En ce qui concerne l’obligation vaccinale, nous avons déjà sauté le pas et sommes entrés dans une société de non droit.
Pourquoi nous disons : “NON aux obligations vaccinales“
LOIN D’ÊTRE ÉGOISTE, LA LIBERTÉ QUE NOUS REVENDIQUONS EST UNE ATTITUDE LUCIDE ET RESPONSABLE
Nos arguments n’ont pas été entendus et aujourd’hui nos enfants doivent subir 11 vaccins ou déjà ils sont rejetés de notre communauté nationale. Si demain le Bundestag modifie la Constitution, que deviendra la devise de la Bundesrepublik ? « Einigkeit und Recht und Freiheit » (Unité, droit et liberté)
« Einigkeit » (unité) deviendra vite « Ségrégation », « Eradication », « Bannissement » ou que sais-je encore ; le non-vacciné, déjà qualifié de Trittbrettfahrer (resquilleur), deviendra « Untermensch (sous-homme) ? ». On commence par éradiquer les virus, puis on en termine avec l’élimination sociale des antivax. Au XXIème siècle, on n’élimine pas physiquement, mais socialement, professionnellement.
« Recht » ? Le droit est le dernier rempart contre la violence, mais s’il devient possible de modifier aussi aisément la constitution, quelle violence subirez-vous ? Vous serez devenu l’esclave de l’industrie pharmaceutique qui s’enrichira avec vos impôts et vos cotisations sociales au détriment de votre santé. Ainsi, vous subventionnerez une industrie privée avec l’argent de votre travail… de votre sueur… de votre sang.
« Freiheit » ? Liberté ou sécurité, pourrez-vous encore choisir ?
La liberté fait peur aux progressistes comme aux conservateurs, aux collectivistes comme aux individualistes. On constate ce syndrome dans les sociétés organisées à l’extrême, en apparence tolérantes mais à bout de souffle de leurs propres logiques jusqu’à la contradiction, on rejoint ainsi les pays autoritaires sous-développés.
C’est que, au nom du totem de l’ordre, nécessaire au contrôle social des foules, le tabou de la liberté est sacrifié sur l’autel de deux canons institutionnalisés : la sécurité et l’égalité .
La loi d’obligation vaccinale en est le triste exemple. Au nom de l’État “providence” nous subissons des politiques sécuritaires liberticides, déresponsabilisantes et infantilisantes. En prétendant répondre au besoin de sécurité du peuple, nos parlementaires torturent la science pour graver l’obligation vaccinale dans le marbre de la Constitution.
Supprimant ainsi le libre choix thérapeutique, là où la vertu de prudence suffit et émancipe. Le monde microscopique (Virus, bactéries, champignons et levures) n’obéira pas aux lois de la République.
La question des vaccins est à la fois une question environnementale et constitutionnelle. Un sujet sérieux et nous craignons qu’il ne soit déjà trop tard.
Die Lage ist ernst und manch einer befürchtet, dass es schon zu spät ist. (La situation est grave et certains craignent qu’il soit trop tard)
Jean-Pierre Eudier, Président
»
|
Suivez à travers notre action une actualité qui vous concerne.