Des touristes allemands en vacances sur l'île des Açores s'étaient être placés en quarantaine du fait d'un test positif au Covid-19 effectué en arrivant sur l'île. Le juge des référés portugais saisi a fait droit à la demande des requérants pour que leur liberté leur soit restituée immédiatementsur le fondement de détention illégale imposé par un test positif au Covid-19,
La Cour d'appel de Lisbonne a été saisie en appel par l'Autorité régionale de santé pour contester cette décision. La Cour d'appel rejette le recours formé notamment par l'absence de fiabilité des tests PCR.
Pour résumer les points soulevés par la Cour (https://crlisboa.org/wp/juris/
I. L'ARS ne peut pas faire appel d'une décision ordonnant la libération immédiate de quatre personnes pour détention illégale dans le cadre d'une procédure d'habeas corpus (art. 220 als. c) et d) du C.P.Criminel), demandant la validation de l''isolement obligatoire des demandeurs parce qu'ils sont porteurs du virus SRAS-CoV-2 (A....) et parce qu'ils sont sous surveillance active pour exposition à haut risque décrétée par les autorités sanitaires (B..., C.... et D.....) parce qu'ils n'ont aucune légitimité ou intérêt à agir.
II. La demande formulée serait également manifestement infondée car :
A. La prescription et le diagnostic sont des actes médicaux, sous la responsabilité exclusive d'un médecin, inscrit à l'ordre des médecins (règlement n° 698/2019 du 5.9). Ainsi, la prescription de méthodes auxiliaires de diagnostic (comme c'est le cas des tests de détection d'une infection virale), ainsi que le diagnostic quant à l'existence d'une maladie, en ce qui concerne chaque personne, est une question qui ne peut être réglée par une loi, une résolution, un décret, un règlement ou toute autre voie normative, car il s'agit d'actes que notre système juridique réserve à la compétence exclusive du médecin, étant donné qu'il est certain que le médecin, en conseillant son patient, doit toujours essayer d'obtenir son consentement éclairé (n° 1 de l'art. 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme).
B. En l'espèce, il n'existe aucune indication ou preuve qu'un tel diagnostic a effectivement été posé par un professionnel qualifié conformément à la loi et qu'il a agi conformément aux bonnes pratiques médicales. En fait, ce qui ressort des faits présentés comme preuves, c'est qu'aucun des demandeurs n'a même été vu par un médecin, ce qui est franchement inexplicable, étant donné la gravité supposée de l'infection.
C. La seule preuve à cet égard est que des tests RT-PCR ont été effectués, dont l'un a donné un résultat positif à l'un des requérants.
D. Au vu des preuves scientifiques actuelles, un tel test est incapable à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu'une telle positivité correspond effectivement à l'infection d'une personne par le virus du SRAS-CoV-2, pour un certain nombre de raisons, dont nous en soulignerons deux (outre la question de l'étalon-or que, en raison de sa spécificité, nous n'aborderons même pas) :
Car cette fiabilité dépend du nombre de cycles qui composent le test ;
Car cette fiabilité dépend de la quantité de charge virale présente.
III. Tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (tels que la détermination de l'existence d'une infection virale et d'un risque élevé d'exposition, qui sont couverts par ces concepts) effectué sans observation médicale préalable des patients et sans l'intervention d'un médecin agréé par l'OM (qui évaluerait leurs signes et symptômes, ainsi que les examens qu'il jugerait appropriés à leur état), viole le Règlement n Elle peut constituer un délit d'usurpation de fonctions, p. et p. par l'art. 358 al.b) du code pénal.
IV. Toute personne ou entité qui émet un ordre dont le contenu est étendu à la privation de liberté physique, ambulatoire, d'autrui (quelle que soit la nomenclature de cet ordre : confinement, isolement, quarantaine, protection prophylactique, surveillance de la santé, etc.), qui ne s'inscrit pas dans les dispositions légales, en particulier l'article 27 de la PRC, procédera à une arrestation illégale, parce qu'ordonnée par une entité incompétente et parce que motivée par le fait que la loi ne le permet pas.
Lien du jugement : http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/
Jugement et étude du Clinical Infectious Diseases sur la fiablité des tests PCR à télécharger ci-dessous.
De nombreux avocats déposent des plaintes contre les vaccins, que ce soit en France avec Reation19, de Maître Carlo Alberto Brusa, Autriche, avec Maitre Markus Haintz, au Portugal...
France : https://reaction19.fr/actualites/plainte-penale-relative-aux-vaccins/
Autriche : https://t.me/Haintz/2669
Dr Wolfgang Wodarg à propos de ses déclarations sur les tests PCR : https://drive.google.com/file/
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