L’épidémie de COVID 19 ou SRAS Cov 2 serait apparue en Décembre 2019 à Wuhan en Chine, et aurait touché la planète entière.
Ce qui est particulièrement notable avec cette épidémie, ce n’est pas tant sa létalité, finalement moindre que celle de la grippe espagnole ou de la grippe de Hong Kong (1969-70), que sa gestion, en particulier : la gestion sanitaire, le traitement de la maladie, la vaccination, la couverture médiatique, et l'implication des acteurs.
Dans un grand nombre de pays, la politique sanitaire (confinement, fermeture des lieux publics, généralisation du port du masque, passe sanitaire …) a pris le pas sur tout autre considération (économie, social, droit des citoyens et même santé publique) et a impacté toute la population même les tranches d’âge ne présentant aucun risque d’hospitalisation ou de décès.
Et pour justifier ces mesures extrêmes, de nouvelles « théorie médicale » ont fait leur apparition tel que :
Lorsqu’une maladie est identifiée, la priorité est généralement de trouver comment la soigner … et bien pas dans le cas du Covid 19. Tous les essais de traitements ont été systématiquement dénigrés ou combattus, malgré des résultats pourtant probants.
Alors que des moyens financiers et scientifiques impressionnants ont été alloués à la recherche d’un vaccin, aucun financement conséquent n’a été attribué à la recherche d’un traitement.
Alors que la vaccination obligatoire est interdite par tous les traités internationaux et européens (pour rappel, la France a du demander une autorisation exceptionnelle à l’Europe pour rendre obligatoire la vaccination des nourrissons pendant 5 ans), des états, comme la France, ont rendu la vaccination obligatoire pour des professions qui sont pourtant peu touchés par les formes graves du virus ou déjà immunisées (soignants, personnel des restaurants …).
La couverture médiatique de cette épidémie a été d’une rare violence. Entre le décompte macabre du nombre de décès quotidien, les vidéos et informations anxiogènes en continu et les attaques virulentes à l’encontre de toute personne ayant une opinion ou des éléments contraires à la doxa officielle, les médias (souvent subventionnés par l’Etat, comme en France) ont diffusé informations et condamnations, créant un climat anxiogène et violent.
Face aux médias, Internet et les réseaux sociaux ont pris une place importante et donner un espace d’expression pour les « dissidents » et les bannis.
De nombreuses organisations internationales se sont posés comme autorité pour la gestion de l’épidémie alors même que leur impartialité est sujet à caution :
- L’OMS, présentée comme une organisation internationale neutre, est financé en majorité par la Chine et la Fondation Bill Gates.
- L’Union Européenne, qui n’a aucune compétence dans le domaine de la Santé, a voulu centraliser les achats de masques, de traitement (Remdevir) et de vaccins, avec les résultats catastrophiques qu’on a vu, et veut maintenant imposer une passe sanitaire européen.
Autre acteur de cette crise, les laboratoires pharmaceutiques qui sortent grands gagnants de cette épidémie :
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