Le gouvernement français a fait voter l’état d’urgence en mars 2020 ( ?) après avoir minimiser les risques de contagion et laisser les frontières du pays grandes ouvertes.
Un Conseil scientifique a été mis en place afin d’analyser l’évolution de l’épidémie dans le pays et proposer des mesures sanitaires au gouvernement. La composition et les recommandations du Conseil scientifique, ainsi que les liens de certains de ses membres avec le laboratoire Gilead, ont fait réagir de nombreux soignants et scientifiques qui ont constitué un Conseil Scientifique Indépendant (lien) et publié un Manifeste pour pouvoir soigner.
Dans le cadre de l’Etat d’urgence, le gouvernement a décidé la mise en place de plusieurs mesures sanitaires (sans réel contrôle du Parlement) :
Malgré les annonces du gouvernement, l’efficacité de ces mesures exceptionnelles n’a pas fait l’objet d’une réelle évaluation, malgré les demandes de certains Parlementaires et Sénateurs.
De leur côté, les principaux médias ont entamé un décompte macabre du nombre de décès et d’hospitalisation quotidien, relayant telles quelles les communications de Santé France ( ?). On a également pu observer une réelle volonté d’attaquer voir de censurer toute critique ou proposition différente de la version « officielle » (fermeture de compte sur Twitter, attaque des spécialistes …).
Stratégie Identifier ( ?) / Isoler / Soigner
Application COVID
Levée du secret médicale : accès aux données vaccinales pour les médecins, la Sécu ( ?), les chefs d’établissement scolaires bientôt …
Liste des comités en charge de la santé
+ Conseil scientifique et Comité spécial COVID 19
Gestion des soignants : mobilisation des soignants et appel aux « réservistes », suspension des congés, rappel au travail même si malade …
Evaluation de l’efficacité de cette organisation :
Destruction des hôpitaux depuis des années … qui s’est poursuivie pendant l’épidémie (suppression de 5700 lits depuis 2019) alors même que le taux de saturation des hôpitaux est un indicateur de la politique sanitaire d’urgence :
Problème de coordination entre hôpitaux publics et privés
Incompétence des AP-HP …
Dommages collatéraux :
Sélection des malades :
Epuisement et écœurement de beaucoup de soignants (applaudissement puis vaccination obligatoire, prime Covid au compte-goutte, conditions de travail inchangées, Ségur de la santé décevant, RIP sur l’Hopital retoqué par le Conseil Constitutionnel …)
Suivant l’exemple de la Chine, de nombreux pays ont décidé de confiner la population pour éviter la propagation du COVID 19, avec des impacts humains et sociaux dramatiques … et peu d’impact sur le nombre de contaminations et donc de décès.
Evaluation de l’efficacité de la mesure
La comparaison entre des régions confinés et des régions confinées montrent que le confinement n’a pas eu d’impact sur la dynamique de l’épidémie et n’a pas limiter la contamination.
La Suède, qui n’a pas confiné sa population, a été moins impacté par le Covid 19 que les autres pays d’Europe qui ont opté pour le confinement et la restriction des déplacements, tels que la Grande Bretagne (https://fee.org/articles/sweden-saw-lower-mortality-rate-than-most-of-europe-in-2020-despite-no-lockdown/)
« Décès de Covid » en Suède (pas de verrouillage) vs Royaume-Uni (verrouillage).
La comparaison entre les décès attribués au Covid en Californie (confirnement) et en Floride (pas de confinement) est également parlant :
« Décès de Covid » en Floride (pas de verrouillage) contre la Californie (verrouillage).
Dommages collatéraux
Les confinements ont eu de nombreux impacts néfastes sur :
Il est aujourd’hui reconnu que les confinements, par le biais des dommages économiques, sociaux et sanitaires, ont été aussi mortel que le virus, voire plus (https://off-guardian.org/2020/04/01/could-the-covid19-response-be-more-deadly-than-the-virus/)
Envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, le Dr David Nabarro a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020. (https://www.journaldemontreal.com/2020/10/12/un-envoye-special-de-loms-denonce-le-confinement-comme-principale-mesure-de-lutte-contre-la-covid-19)
Annonces du gouvernement
Mesures réellement mises en place
Le port du masque, en intérieur et extérieur, a été imposé pour éviter la contamination par les gouttelettes projetées.
Evaluation de l’efficacité de la mesure
De nombreuses études ont montré que le masque n’arrête pas la propagation des virus respiratoires :
D’autres études affirment que le masque fonctionne contre le Covid mais elles présentent des biais ou ont été remises en cause :
L’OMS a également commandé une méta-analyse publiée dans The Lancet, mais l’étude ne porte que sur les masques N95 dans les hôpitaux : les données et les résultats de de cette étude ont été fortement critiquée (https://swprs.org/who-mask-study-seriously-flawed/)
En plus de preuves scientifiques, la comparaison entre les régions ayant imposé le port du masque et celles qui ne l’ont pas fait démontre l’inefficacité de cette mesure :
Dommages collatéraux
Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour la santé.
Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.
Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.
Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain . [A reprendre / compléter]
Modalités du passe sanitaire
Evaluation de l’efficacité sanitaire
Mutation du virus
Variants et « vagues »
Indicateurs de suivi en France :
Pour chaque indicateur, indiquer :
Liste des vaccins avec :
Bénéfice des « Vaccins » anti-Covid : réduire le risque de forme grave mais pas d’impact sur la propagation du virus
Balance bénéfice / risque de la vaccination par tranches d’âge :
Tranche d’âge |
Pourcentage des Décès avec le COVID en France |
Taux de mortalité |
Bénéfice de la vaccination |
0 à 18 ans |
0% (15 décès avec comorbidités) |
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Aucun Risque d’effet grave ou de décès quasi nul |
18 à 65 ans |
10% ( ?) |
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65 à 85 ans |
40% ( ?) |
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Plus de 85 ans |
50% ( ?) |
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Face à tout virus, il est essentiel d’augmenter ses défenses immunitaires. Pour cela, beaucoup de choses ont prouvé leur efficacité :
D’autres approches complémentaires peuvent être envisagées par votre médecin en fonction de sa pratique, mais une chose est sûre : nous devons renforcer nos défenses plutôt que fuir devant l’ennemi. C’est la première chose à faire si on veut gagner la « guerre ».
Malgré un favoritisme prosélyte des autorités et des médias en faveur des vaccins comme s'ils étaient une solution exclusive (pour des raisons économiques évidentes), les traitements sont généralement peu onéreux, et sont efficaces, prévenant la plupart des cas ou les guérissant.
De nombreuses publications nationales et internationales laissent penser qu'un traitement précoce efficace reposerait sur une ou plusieurs de ces approches thérapeutiques :
Il existe même d’autres pistes complpour qu’elle soit utile, elle doit être abémentaires pour soulager et soigner les malades : d’autres antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline (un autre antibiotique), l’ivermectine (un antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants (il n’y a pas de recrudescence de l’épidémie en Asie et en Afrique), mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter contre les infections ou soulager les symptômes. Tous ces traitements doivent être prescrits par un médecin en fonction des spécificités de son patient, de ses symptômes et d’éventuelles précautions d’emploi.
Plusieurs types de tests sont utilisés pour dépister le Covid 19 :
Il s’agit d’un prélèvement réalisé par voie nasal qui est soumis à des cycles …. Le test est considéré comme positif si la présence d’ARN est détectée … Depuis Février 2020, la Haute Autorité de Santé (HAS) autorise les tests RT-PCR salivaires.
L’utilisation du Test PCR pour dépister le Covid 19 a été préconisé par l’OMS dès le début de la pandémie et est le principal outil de dépistage utilisé en France.
Ce type de Test fait pourtant l’objet de nombreuses critiques quant à son utilisation pour le dépistage du Covid 19 et à sa fiabilité (risque élevé de faux positif).
Les tests PCR n’ont pas été conçu pour être un outil de diagnostic et ont montré leur manque de fiabilité bien avant l’épidémie.
L’inventeur du procédé n’a jamais eu l’intention d’utiliser le test RT-PCR comme outil de diagnostic : « La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça. » (https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/)
De plus, les tests PCR, déjà utilisés avant l’épidémie de Covid 19, ont montré leurs limites par la production de nombreux résultats faussement positifs :
Les tests qui ont permis de validé l’utilisation du Test PCR pour le dépistage du Covid 19 sont remis en cause (source).
Deux semaines après le séquençage du génome du virus Sars-Cov-2 par des scientifiques chinois, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR. Leur article « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel » (https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045) a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que le document aurait été « revu par des pairs » en moins de 24 heures alors que le processus prend généralement des semaines. Or les tests Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR Covid dans le monde.
Un consortium de plus de quarante scientifiques de la vie a demandé le retrait de l’article, écrivant un long rapport détaillant 10 erreurs majeures dans la méthodologie de l’article. Ils ont également demandé la publication du rapport d’examen par les pairs de la revue, pour prouver que l’article a vraiment passé par le processus d’examen par les pairs. Le journal doit encore s’y conformer.
Les valeurs Ct (seuil de cycle) des tests PCR sont trop élevées et génère de nombreux faux positifs
Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles utilisé pour obtenir un résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. La majorité des spécialistes, ainsi que l’OMS, préconise un seuil de 30 à 35 cycles maximum afin de limiter le nombre de faux positifs. Or les laboratoires effectuent généralement entre 37 et 45 cycles, alors que la « procédure opératoire standard » du NHS pour les règles des tests PCR fixe la limite à 40 cycles (https://www.rcpath.org/uploads/assets/90111431-8aca-4614-b06633d07e2a3dd9/Guidance-and-SOP-COVID-19-Testing-NHS-Laboratories.pdf).
Même l’OMS a admis que les Tests PCR produisent de faux positifs :
En France, selon l’Avis publié le 27 Juillet 2020 par le Conseil Scientifique Covid-19, les tests réalisent en moyenne entre 40 et 45 cycles (page 30). L’avis précise d’ailleurs que : « Des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque.» (https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/avis_conseil_scientifique_27_juillet_2020.pdf#page=30)
Dès mars 2020, des études ont démontrés qu’une large proportion des personnes testées positives au Covid 19 ne présentaient aucun symptôme viral :
La fiabilité des Tests PCR pour dépister le Covid 19 a été remise en cause dans plusieurs pays.
Plusieurs pays ont reconnu dès le début de l’épidémie que les Tests PCR n’étaient pas fiables et ne devait pas être utilisés le dépistage du Covid 19 :
A compléter
A compléter
Le Covid 19 provoque différents symptômes proches de ceux de la grippe mais le plus spécifique est la perte de goût ou d’odorat. Comme le précise l’OMS, la plupart des personnes infectées développe une forme légère à modérée de la maladie. Il peut cependant provoquer une infection des poumons, ce qui nécessite alors une hospitalisation.
Comme tous les virus, le Covid 19 mute au fur et à mesure du temps : plusieurs variants ont été identifiés depuis le début de l’épidémie.
La contamination peut s’effectuer par contact avec une surface infectée ou par voie aérienne. Le niveau de contagiosité est différent selon les variants.
Le taux de mortalité du Covid (nombre de décès par population) est de 0,063 % en moyenne et le ratio infection-létalité (risque de décès pour une personne infectée) est compris entre 0,04% et 0,5% selon les études.
Le virus a tout d’abord été qualifié de virus naturel transmis par les pangolins et les chauves-souris. Cette hypothèse poussée par la Chine a été relayée en cœur par l’OMS, les médias et un grand nombre de gouvernement malgré la présence de 2 laboratoires dans la ville de Wuhan et les contestations de spécialistes internationaux tels que le Pr Montagné (prix nobel qui a été identifié dès début 2020 des traces de manipulation humaine dans la composition du virus).
Au vu des résultats des études et remontées par un nombre croissant de scientifiques, l’OMS a fini par reconnaître que le virus aurait pu s’échapper des laboratoires de Wuhan et a diligenté une enquête à Wuhan malgré les réticences de la Chine.
A ce jour, les résultats de l’étude ne sont toujours pas publiés.
Voici les symptômes du COVID 19 tels que décrits par l’OMS (source)
« La COVID19 affecte les gens de différentes façons. La plupart des personnes infectées développeront une forme légère à modérée de la maladie et se rétabliront sans avoir besoin d’être hospitalisées.
Symptômes les plus courants :
Symptômes moins courants :
Symptômes graves:
En moyenne, il faut 5 à 6 jours pour qu'une personne infectée par le virus manifeste des symptômes. Cela peut toutefois aller jusqu'à 14 jours. »
Explication sur le mode de contagion / contamination (charge virale, transmission par vois aérienne, toucher …)
En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :
« D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire. »
Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer. Une autre étude, réalisée sur la grippe en 2009, a trouvé:
« … des preuves limitées pour suggérer l’importance de la transmission [asymptomatique]. Le rôle des personnes infectées par la grippe asymptomatiques ou présymptomatiques dans la transmission de la maladie a peut-être été surestimé… »
Compte tenu des défauts connus des tests PCR, de nombreux « cas asymptomatiques » peuvent être des faux positifs. A revoir
Selon la quasi-totalité des études :
Dans la majorité des pays ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif au COVID 19 ».
En supprimant toute distinction entre mourir de la Covid et mourir d’autre chose après avoir été testé positif pour la Covid, le nombre de décès Covid ne peut être que surestimé. De nombreux spécialistes ont signalé ce biais structurant dans le décompte des décès dus au COVID 19.
Pour en savoir plus :
99% des personnes dont le décès est imputé au Covid présentent des comorbidités
Les statistiques publiées en Italie en Mars 2020 montrent que 99,2% des « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave (cancer, maladies cardiaques, démence, maladie d’Alzheimer, insuffisance rénale et diabète …) (https://off-guardian.org/2020/03/23/italy-only-12-of-covid19-deaths-list-covid19-as-cause/)
L’ONS (Official National Statistics) britannique a révélé en Octobre 2020 que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » avait la Covid comme seule cause de décès (https://www.ons.gov.uk/aboutus/transparencyandgovernance/freedomofinformationfoi/covid19deathswithnounderlyinghealthconditionsbrokendownbyage).
Selon le Pr Raoult, les personnes décédées avec le COVID 19 avaient une espérance de vie de 1,5 ans en moyenne [Source à retrouver]
L’âge médian du « décès Covid » est généralement supérieur à l’espérance de vie nationale
En France, l’âge médian d’un décès Covid est de 84 ans (https://swprs.org/studies-on-covid-19-lethality/#age).
Répartition des décès par tranche d’âge depuis Février 2020 :
Tranche d’âge |
Nombre de « Décès Covid » |
Pourcentage |
0 à 18 ans |
15 enfants (avec comorbidité) |
|
19 à 65 ans |
|
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66 à 85 ans |
|
|
Plus de 85 ans |
|
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Mortalité quotidienne française de 1968 à 2020 : (https://twitter.com/paldama/status/1334512752560394246/photo/1)
En jaune, la grippe de Hong Kong de 1969 ; en vert, la canicule de 2003 ; et en rouge, la première et la deuxième vague covid.
Mortalité quotidienne française, 1968 à 2020 (Paldama/SDF)
Mortalité mensuelle française de 1990 à 2020 par tranche d'âge (supérieure et inférieure à 65 ans) :
Mortalité mensuelle française chez les personnes âgées / moins de 65 ans, 1998-2000 ( Fernique )
L’épidémie de COVID 19 ou SRAS Cov 2 serait apparue en Décembre 2019 à Wuhan en Chine, et aurait touché la planète entière.
Ce qui est particulièrement notable avec cette épidémie, ce n’est pas tant sa létalité, finalement moindre que celle de la grippe espagnole ou de la grippe de Hong Kong (1969-70), que sa gestion, en particulier : la gestion sanitaire, le traitement de la maladie, la vaccination, la couverture médiatique, et l'implication des acteurs.
Dans un grand nombre de pays, la politique sanitaire (confinement, fermeture des lieux publics, généralisation du port du masque, passe sanitaire …) a pris le pas sur tout autre considération (économie, social, droit des citoyens et même santé publique) et a impacté toute la population même les tranches d’âge ne présentant aucun risque d’hospitalisation ou de décès.
Et pour justifier ces mesures extrêmes, de nouvelles « théorie médicale » ont fait leur apparition tel que :
Lorsqu’une maladie est identifiée, la priorité est généralement de trouver comment la soigner … et bien pas dans le cas du Covid 19. Tous les essais de traitements ont été systématiquement dénigrés ou combattus, malgré des résultats pourtant probants.
Alors que des moyens financiers et scientifiques impressionnants ont été alloués à la recherche d’un vaccin, aucun financement conséquent n’a été attribué à la recherche d’un traitement.
Alors que la vaccination obligatoire est interdite par tous les traités internationaux et européens (pour rappel, la France a du demander une autorisation exceptionnelle à l’Europe pour rendre obligatoire la vaccination des nourrissons pendant 5 ans), des états, comme la France, ont rendu la vaccination obligatoire pour des professions qui sont pourtant peu touchés par les formes graves du virus ou déjà immunisées (soignants, personnel des restaurants …).
La couverture médiatique de cette épidémie a été d’une rare violence. Entre le décompte macabre du nombre de décès quotidien, les vidéos et informations anxiogènes en continu et les attaques virulentes à l’encontre de toute personne ayant une opinion ou des éléments contraires à la doxa officielle, les médias (souvent subventionnés par l’Etat, comme en France) ont diffusé informations et condamnations, créant un climat anxiogène et violent.
Face aux médias, Internet et les réseaux sociaux ont pris une place importante et donner un espace d’expression pour les « dissidents » et les bannis.
De nombreuses organisations internationales se sont posés comme autorité pour la gestion de l’épidémie alors même que leur impartialité est sujet à caution :
- L’OMS, présentée comme une organisation internationale neutre, est financé en majorité par la Chine et la Fondation Bill Gates.
- L’Union Européenne, qui n’a aucune compétence dans le domaine de la Santé, a voulu centraliser les achats de masques, de traitement (Remdevir) et de vaccins, avec les résultats catastrophiques qu’on a vu, et veut maintenant imposer une passe sanitaire européen.
Autre acteur de cette crise, les laboratoires pharmaceutiques qui sortent grands gagnants de cette épidémie :
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